Les enfants sont couchés?
Peut heurter la sensibilité de certains
Chaque grain de ta peau, où qu'il soit, Quel morfal !
Roidit le petit, comme une troupe de soldats affamés
Partis en manœuvres pour des années et de sexe privés
J'accorde à tes millions d'endroits mon sceptre ithyphalle °.
Je suis fétichiste de tes humeurs qui m'enivrent le pédoncule
Faisant monter le plaisir en reniflant tes odeurs animales
Les retrouvant nichées , ici ou là ,ou dans l' abysse vaginale
Mes papilles fouineuses, s'en babinant des lèvres au vestibule°.
La volupté que tu dégages subit ma lèche chercheuse
Ce qui est repoussant pour l'un, j'adore encore et encore
Tripotant la saveur salée de tes aisselles moites et goûteuses
Je n 'en perds pas une goutte , de tes perles d'aqua d'or
Je te mange, t'avale, de tous côtés ,et le rond fissuré des fesses
Lubrifié par ma langue saliveuse, ouvre le bec, sans laisser tomber la poix
La tenaillant d'entre tes spasmes, j'ai le pénis embourbé qui se noie
Heureux dans ton magmas , toi seule sachant "ventiler" l 'allégresse"
Des pores graciles de ta peau, de ton visage aux extrémités des petons
Ma langue s'use à laver tes oripeaux, une braise machinant tes oreilles
Tu es ma Muse indomptable, ma couronne corporelle de senteurs vermeilles
Des racines des cheveux à ton derrière, je loge en tous sites des gaves et du con.
° vestibule ..une pratie interne de la bouche
° ithaphalle ...pénis
Peut heurter la sensibilité de certains
Chaque grain de ta peau, où qu'il soit, Quel morfal !
Roidit le petit, comme une troupe de soldats affamés
Partis en manœuvres pour des années et de sexe privés
J'accorde à tes millions d'endroits mon sceptre ithyphalle °.
Je suis fétichiste de tes humeurs qui m'enivrent le pédoncule
Faisant monter le plaisir en reniflant tes odeurs animales
Les retrouvant nichées , ici ou là ,ou dans l' abysse vaginale
Mes papilles fouineuses, s'en babinant des lèvres au vestibule°.
La volupté que tu dégages subit ma lèche chercheuse
Ce qui est repoussant pour l'un, j'adore encore et encore
Tripotant la saveur salée de tes aisselles moites et goûteuses
Je n 'en perds pas une goutte , de tes perles d'aqua d'or
Je te mange, t'avale, de tous côtés ,et le rond fissuré des fesses
Lubrifié par ma langue saliveuse, ouvre le bec, sans laisser tomber la poix
La tenaillant d'entre tes spasmes, j'ai le pénis embourbé qui se noie
Heureux dans ton magmas , toi seule sachant "ventiler" l 'allégresse"
Des pores graciles de ta peau, de ton visage aux extrémités des petons
Ma langue s'use à laver tes oripeaux, une braise machinant tes oreilles
Tu es ma Muse indomptable, ma couronne corporelle de senteurs vermeilles
Des racines des cheveux à ton derrière, je loge en tous sites des gaves et du con.
° vestibule ..une pratie interne de la bouche
° ithaphalle ...pénis